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Discours de fin d’année : Luther Meka démolit Maurice Kamto et Cabral Libii, les deux « présidentiallons »

Il accuse ces deux hommes politiques d’avoir tenté de brouiller le message de fin d’année du Président Paul Biya.

André Luther Meka pense que Cabral Libii et Maurice Kamto, en faisant leur discours  au même moment que Paul Biya, on voulu mettre en question l’autorité du Chef de l’Etat.

Lisons sa sortie

LES CAQUETEURS DE FIN D’ANNÉE

Cela dure. Depuis la fin de la présidentielle de 2018, certains opposants ou dissidents du RDPC, prennent la parole au même moment, temps solennel du chef de l’Etat pour s’adresser aux camerounais. Dans tous les pays du monde, qui respectent la démocratie, celle qui consacre le choix de la majorité, celle qui respecte leur président, on attend la parole présidentielle. La parole du mandataire du peuple. La parole qui guide, et dévoile les orientations et les réalisations du président garant de la stabilité économique, sécuritaire de la République.

Il n’est pas curieux de constater cette pollution sémantique au temps présidentiel. Le premier déterminant est la négation de son autorité, de sa légitimité.  L’impensé de ces discours est le refus d’accepter que la parole présidentielle préside et surpasse toutes les autres paroles pour donner la voie à la fin de l’année. Dans l’implicite de ces actes, ils sont aussi des  » présidents ». Des  » petits présidents » La République des « petits présidents ».

L’autre facteur de ces discoureurs de fin d’année des  » petits présidents » est de brouiller le message présidentiel. Une sorte de défiance de la solennité du temps présidentiel. L’astuce étant de diluer l’audience et de dissoudre la captation du message présidentiel. Au fond, l’analyse des audiences pour soupeser l’aura présidentielle et de démontrer à l’international que le président Paul Biya n’est plus écouté. Eux les « présidentiallons »sont plus crédibles et écoutés du peuple.

Les thuriféraires de cette caution de la démocratie à tous les prix nous coûtent chers. Cette démocratie où il faut accepter les marches de révolution, le discrédit de la République dans les réseaux sociaux, les casses des ambassades, les assauts des ambazoniens où les forces de l’ordre doivent réagir par légitime défense et enfin les discours des  » petits présidents » au temps faste, solennel du président. La démocratie est-elle à ce prix? J’en doute. Que la République soit réinstaurée!!!!