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Fake News sur les réseaux sociaux : le journaliste Sismondi Barlev Bidjocka se lâche sur Me Akere Muna

Me Akere Muna

Sismondi Barlev Bidjocka a la dent très dure contre Me Akere Muna

Le journaliste, PDG de RTS radio, accuse l’ancien bâtonnier de distiller en longueur de journée des tonnes de fake News sur les réseaux sociaux. En effet, tout est parti des plus ressentes sorties de Me Akere Muna sur réseaux sociaux, où il relaie certaines informations des régions en crise du Sud-ouest et du Nord-Ouest, notamment le décès par balles d’un nourrisson de 4 mois à Muyuka ou encore la tête d’un homme que l’on présente comme un enseignent décapitée et jetée dans un carrefour à Bamenda. Mais Sismondi Barlev Bidjocka trouve que les sorties de l’avocat et homme politique sont teintées de mensonges. Dans une sorte de réplique, le journaliste d’investigation salue les efforts déployés jusqu’ici par le gouvernement pour tenter de juguler la crise. Il accuse Me Akere Muna d’avoir pour la seule journée d’hier,(mardi 21 mai) annoncé au moins quatre fausses nouvelles sur tweeter, ceci « dans un environnement où un vrai leader se doit de conduire le peuple vers la lumière de la vérité ».

237actu.com vous propose la lecture intégrale de la sortie de Sismondi Barlev Bidjocka contre Me Akere Muna

Alors que le gouvernement de la république déploie des tonnes d’efforts pour ramener la paix dans les régions du sud ouest et du Nord Ouest, des personnalités aux intentions obscures s’attèlent à souffler sur les braises en versant des larmes de crocodiles.

Akere Muna, dans la seule journée d’hier a posé des actes graves en série sur les réseaux sociaux, annonçant plusieurs fois des fausses informations avant de revenir sur le tard dire que ce n’était pas la bonne.

Le journal REPERES en parle dans son édition de ce Matin avec le titre « Sorties publiques, Akere Muna, Sérial Gaffeur. Quand on a été représentant d’une ONG internationale comme transparency international, et ensuite candidat démissionnaire à la course pour la présidence, on devrait en principe prendre du recul avant de relayer certains ragots qui se déversent chaque jour comme des torrents de boue sur les réseaux sociaux.

Dans la seule journée d’hier, Akeré Muna a lui seul annoncé au moins quatre fausses nouvelle sur tweeter, dans un environnement où un vrai leader se doit de conduire le peuple vers la lumière de la vérité. Il faut dire que la journée d’hier était riche en émotions, crées par certains pour enflammer l’opinion, et relayé par d’autres dans la tenue du followers naif. En effet, dans les encablures de la ville de Muyuka, une vidéo filmée on ne sait quand ni par qui, montre un enfant d’environ quatre moi se faire fusiller, la vidéo montre les balles traçantes déchiquetées le corps innocent. Certains partagent la vidéo pour accuser l’armée, qui au demeurant n’apparait pas sur le film, d’autres plus malicieux, irritent les sensibilités en laissant suinter à travers leurs commentaires des émotions feintes et incitatives, pourtant la réponse à la question n’est pas claire ? qui sont ceux qui tirent sur cet enfant en filmant ?

Autant la réponse à cette question nous échappe, autant nous n’arrivons pas à identifier formellement celui à qui appartient la tête décapitée hier et filmée dans les faubourgs de Bamenda.

Au départ, les Akere Muna et ses équipes de fake News ont parlé d’un policier décapitée, ensuite ce n’était plus un policier, mais un médecin, mais deux heures plus tard, ce n’était plus un médecin, mais un enseignant et on ajoute un nom dessus, Nitob Wountai.

En ce qui concerne l’exécution du bébé, selon certaines sources, il s’agit d’un acte perpétré par des ambazoniens habillés comme des BIR. Le papa du bébé aurait décidé de ne plus faire partir d’un groupe ambazonien qui sème la terreur. Pour le punir, ses ex camarades ont décidés de faire une descente punitive ; malheureusement pour eux, le principal concerné étant absent, ils ont décidé d’exécuter sa fille de quatre mois.

Pour ce qui est de la tête, Non seulement il y a confusion autour de cette tête, mais surtout, des acteurs aux idées de sorcellerie semble prendre un plaisir fou à entretenir un faux climat de terreur pour saborder, l’excellent travail engagé par le premier Ministre Dion Nguté . Y en a marre de voire certaines personnalités qui pensent gouverner le pays plus tard, saboter les force de défense. Je me pose là question de savoir si vraiment ils sont conscients que c'est cette même Armée qui va les défendre s'ils arrivent à accéder à la magistrature suprême. Vont-ils tenir le même discours ?vont-ils toujours salir les forces de défenses en les traitant de la sorte ?ces gens ont l’esprit gouverné par la haine, la destruction et le carnage Pauvreté intellectuelle d’Un homme qui est né et a grandit sous le biberon de l’état camerounais.

Monsieur Akere Muna, éteignez votre téléphone et fermez votre gueule SVP