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Cameroun-Région du Sud : Excédé par les calomnies en son encontre, l’ancien maire d'Ambam sort de sa réserve

L'ancien maire d'Ambam excédé des pics et calomnies en son encontre fait une mise au point et apporte quelques réponses aux questions soulevées par l'opinion publique.

En prenant à témoins toutes les élites et forces vives du Département de la Vallée du Ntem, même de la Région du Sud, je voudrais faire une mise au point dont la teneur suit :

1) De 2013 à 2020, période de 7 ans que j'ai passée en qualité de Maire de la Commune d'Ambam, j'ai été victime de toute sorte de désinformation, de délation et de mensonges orchestrés par un groupe de personnes très réduit (groupuscule) qui se sont fixées pour objectif de mener une campagne de dénigrement et de diabolisation de la personne de MBA MBO HYACINTHE, à l'effet de créer un sentiment de haine généralisée contre moi. C'est ainsi que j'ai été accusé faussement et injustement de tous les maux dont je ne voudrais plus revenir ici. Mais les plus essentiels étaient le mépris vis-à-vis des aînés, les détournements des deniers publics, " on a arrêté et enfermé MBA MBO " parfois au SED, parfois à la PJ, parfois au TCS et j'en passe. En ce dimanche, jour du Seigneur, j'ai décidé de profiter de la période de confinement pour sortir de ma réserve et m'exprimer sur ces sujets pour rejeter en blocs, toutes ces fausses accusations et pour mettre leurs auteurs à défis en leur demandant de citer un exemple ou un cas concret (jour, heure, lieu, victime, etc) de manque de respect vis-à-vis d'un aîné, de détournement dont je suis auteur où le jour exact et lieu où j'ai été arrêté et enfermé.

2) Même après avoir passé le service au nouveau Maire d'Ambam et m'être retiré dans ma vie et mes affaires privées, la même désinformation veut persister et ces mêmes auteurs continuent de créer des fausses histoires sur ma personne. Après avoir attendu en vain que je sois arrêté et mis en prison comme ils le laissaient croire aux populations à l'approche de ma passation de service à mon successeur à la tête de la commune d'Ambam, où ils affirmaient alors qu'on attend seulement que je passe le service parce qu'on ne peut pas m'arrêter étant Maire en fonction (comme si le Maire a l'immunité) ; ils affirment à présent que je suis enfermé à Yaoundé et que l'État est déjà entrain de saisir mes biens d'Ambam et de Yaoundé, notamment mon duplex du village et mes immeubles de Yaoundé.

4) Le pire qui est d'ailleurs la goûte d'eau qui fait déborder le vase et me pousse à sortir de ma réserve (n'étant du reste plus soumis à l'obligation de réserve que m'imposait ma fonction de Maire), ce sont les deux affirmations ci-après :

a) Que j'ai simulé le cambriolage de ma voiture et le vol de mes documents personnels pour dissimuler les détournements de deniers publics que j'avais orchestré à la Mairie d'Ambam pendant que j'étais Maire de cette Commune ;

b) Que toutes les décisions de recrutement des agents communaux que j'avais recruté pendant que j'étais maire sont fausses, parce que j'avais imité la signature des préfets qui étaient en poste en ce moment pour approuver ces décisions et que par conséquent, tous ces agents communaux seront licenciés, parce que je les avais trompé et je ne les avais pas aimé.

En réaction à ces deux chefs d'accusation (deux fausses accusations de plus), je voudrais déclarer ce qui suit en guise de mise en garde des auteurs de ces forfaitures : * Pour ce qui est du vol de mes documents personnels, je souhaite vivement qu'un tel coup ne leur arrive pas un jour. Je crois par ailleurs savoir que j'avais déclaré tout ce que j'avais perdu lors de ce coup de vol (tous les diplômes scolaires et universitaires et les relevés de notes correspondants ; mon passeport et mon certificat international de vaccination ; mon acte de naissance et une somme d'un million et demi (1 500 000) de francs CFA m'appartenant et non appartenant à la commune d'Ambam.