×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

Cameroun - 22 Septembre : Très en colère, Wilfried EKANGA s’en prend au Peuple après l’Echec de la Révolution

Selon lui, le Peuple devait sortir en masse pour faire effet, même en l’absence des responsables dont il fait partie. Plusieurs heures après l’échec des marches insurrectionnelles du MRC et alliés programmées pour le 22 septembre au Cameroun à l’effet de renverser le Régime de Paul BIYA, Le militant de Maurice Kamto reste terrifié.

Contrairement aux réactions plutôt optimistes de ses sympathisants, le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun, ne semble pas être satisfait après la date 22 septembre, médiatisée comme jour de la fin du Régime de Yaoundé. Les appels aux soulèvements lancés par le président du MRC qui visaient à détrôner Paul BIYA, officiellement réélu Président de la République du Cameroun en 2018 avec 71,28 % des voix contre 14,23 % pour Maurice Kamto, n’ont pas atteint la promesse des fleurs. Dans l’ensemble, le 22 septembre a été un jour ordinaire au Cameroun. Seuls quelques groupes de manifestants ont été perçus dans les rues de certaines villes comme Bafang, Baham, Douala. Dans les autres villes Comme Yaoundé, Ebolowa, c’était le grand désert. Dans les autres régions notamment l’Est, l’Adamoua, le Nord et l’Extrême-Nord, l’indifférence était presque totale.

Une réalité qui déstabilise plus d’un dans les rangs du MRC. Si pour l’heure aucune réaction du président de ce parti n’a été filtrée, on en sait un peu plus, après une réaction du membre très influent du MRC Wilfried EKANGA.

Dans une réaction audio qui circule dans les réseaux sociaux,  le militant du MRC ne cache pas sa déception et sa colère contre le Peuple Camerounais en général, et celui de Douala en particulier et qui selon lui, n’est pas sorti en masse comme il lui en avait été demandé aux fin de faire pression sur le Régime de Yaoundé. 

Ecoutez plutôt :