Dans le cadre des activités de la journée mondiale de la liberté de la presse célébrée le 3 mai dernier, une exposition des œuvres journalistiques faite à l’école supérieur des sciences et techniques de l’information et de la communication (ESSTIC), a permis de rendre hommage à cet homme de média présenté comme témoin de l’histoire du journalisme et de la vie politique au Cameroun.
La liberté de la presse célébrée dans le monde le 3 mai dernier, au Cameroun, les grandes figures de ce corps de métiers ont été vénérées à l’ESSTIC à travers l’exposition d’une douzaine d’œuvres journalistiques d’auteurs camerounais. Dans cette exposition, le livre intitulé « Jean Vincent Tchienehom un journaliste sur deux siècle : trajectoire, pratiques et leçons d’un itinéraire » sous la direction de Valentin Siméon Zinga était à l’honneur pour rendre hommage au journaliste témoin de l’histoire du journalisme et de la vie politique au Cameroun.
Occasion pour ses confrères de lui rendre hommage. « Il est Un modèle inoxydable, c’est un modèle qui a pris le micro depuis le milieu des années soixante et n’a jamais failli. C’est un journaliste a l’état pure et c’est pour cela que nous lui rendons hommage. Cet hommage est un choix d’honorer de célébrer un homme quand il est encore en vie parce que en générale les gens préfèrent célébrer leurs icones quand ils sont décédés » à confier Hamann Mana directeur de publication du quotidien le jour.
Des différentes œuvres ont été vendus à cette occasion surtout celui de Valentin Siméon Zinga. Il était vendu au prix de deux milles franc. Certains auteurs comme Rachel Malongo ont fait des dédicaces à leurs lecteurs. Et comme, des petits pains, les œuvres se sont arrachés par des visiteurs. « Lire, pour un journaliste est une obligation dans la mesure où il doit se cultiver. Un bon journaliste c’est celui qui lit les autres », a affirmé Valentin Zinga. Pour Léopold Ngodji « le livre est une sorte de media qui véhicule un certain nombre d’informations. On apprend, on découvre dans le livre » « dans les livre on retrouve des expériences, les études que l’on publie et du coup sa nous permet de se cultiver ».
Au cours de cette exposition, Rachel-claire Okani a assuré l’animation avec plusieurs jeux dont les jeux de quinze, au plus grand bonheur des visiteurs.
Alice Hamadjam
