×

Veuillez désactiver le bloqueur de publicité SVP!

Vous n'aimez pas la publicité dans les pages, nous le comprenons bien! Par contre, un site d'information sans pubicité ne pourra pas survivre sans revenu publicitaire.

UFC : Voici pourquoi Francis Ngannou déclare qu’il ne souhaite pas ressembler à son papa

Le Predator, superstar de l’octogone et champion du monde UFC Poids Lourds, est passionné par les sports de combat depuis sa tendre enfance. Une passion qui ne sort pas de nulle part, puisque plusieurs membres de sa famille pratiquaient ainsi des disciplines du genre. Son père en faisait d’ailleurs partie, mais Ngannou a confié lors d’une interview pour GENERATIONS, qu’il travaille dur chaque jour pour ne pas ressembler à son geniteur.

Extrait :

Francis Ngannou : Le sport de combat, ça a toujours été ma passion. Depuis tout petit, aussi longtemps que je puisse m’en rappeler. 

LaMal El Pistolero : Tu te battais dans la rue quand tu étais petit ?

 

Francis Ngannou : Non, je ne me battais pas. Mon père se battait un peu, il avait une réputation. Dès que mes parents ont divorcé, j’ai pas aimé la façon dont les gens parlaient de mon père. Du coup, il était hors de question pour moi de faire ce qu’il faisait ou de devenir comme lui, pour qu’on ne puisse pas parler de moi comme de lui. À partir de ce moment, je me suis battu toute ma vie pour ne pas faire comme mon père. Ne pas combattre dans la rue, par exemple. 

Mais j’avais toujours la passion pour tout ce qui était lié à la force et aux sports de combat, jusqu’à peut-être l’âge de 13 ans. Quand je dis des sports de combat, je ne savais même pax exactement quel sport (il voulait pratiquer, ndlr) j’aimais le karaté parce que mon oncle était karatéka ceinture noire, mon papa l’était aussi. J’aimais le kung-fu dans les films, j’étais passionné de tous les sports de combats, la boxe également. Mais c’est à 13 ans que j’ai trouvé que la boxe, c’était ce que je voulais faire, ce qui me permettrait de garder une bonne réputation et aussi restaurer mon image.

LaMal El Pistolero : De te battre dans les règles de l’art.

Francis Ngannou : Me battre dans les règles de l’art, et avoir un salaire et une réputation, voilà. C’était un peu ça.