Au Cameroun, la liberté d'expression est de plus en plus étriquée. Les opposants au régime sont désormais ciblés par un arrêté du préfet du Mfoundi, qui interdit à tout individu qui appelle au soulèvement contre les institutions de la République ou qui les outrage dangereusement de séjourner dans le département.
Cet arrêté du préfet du Mfoundi vise clairement l'opposition politique camerounaise. Les opposants au régime sont désormais soumis à une pression considérable, qui les force à se taire ou à quitter le département du Mfoundi. La peur et la répression règnent en maître, et les Camerounais qui osent exprimer leurs opinions dissidentes sont menacés d'être chassés de leur propre terre.